Sur internet : l’avocat, le nouveau fruit corse

Voilà qui va vous convenir : Un nouveau papier que notre équipe vient de repérer sur internet et que nous vous reproduisons ci-dessous. La thématique est « la justice ».

Le titre (l’avocat, le nouveau fruit corse) est parlant.

Sachez que le chroniqueur (présenté sous le nom d’anonymat
) est reconnu comme quelqu’un de sérieux.

Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette parution.

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Agriculture : l’avocat, le nouveau fruit corse

Agriculture : l’avocat, le nouveau fruit corse –
(France 2)

La France, l’un des premiers consommateurs européens d’avocat, en importe des milliers de tonnes chaque année. Certains producteurs en ont lancé la culture, notamment en Corse.

La Corse est connue pour son eau cristalline, ses villages à flanc de colline, ou encore ses clémentines. Mais pas encore pour ses vergers d’avocats. Entre mer et montagne, le domaine d’Anthony de la Taste s’étend sur une centaine d’hectares dans la Plaine Orientale. Le premier verger a été planté en 2019. Pour se diversifier, huit hectares d’avocats ont été plantés. Une variété à la peau fine et granuleuse, et à la chair ferme. La saison dure deux mois. De janvier à février, les ouvriers ramassent entre 4 et 5 tonnes par jour. 

Un nouveau pari 

En Corse, l’avocat trouve le soleil et la chaleur dont il a besoin, et ne manque pas d’eau. Dans la Plaine, entourée de montagnes, les nappes phréatiques se rechargent naturellement en hiver. Les arbres, gourmands en eau, sont arrosés via un système de goutte-à-goutte. « Environ 90 litres d’eau par jour », précise Anthony de la Taste. Il prévoit de voir ses volumes augmenter d’année en année. Toute la production part sur le continent. Les avocats sont vendus sur les marchés et dans les magasins bio. Comme le précise la gérante d’une boutique, il faut compter 18 euros pour un kilo d’avocat corse, contre 6,25 euros pour l’avocat espagnol. 

Un jeune vigneron corse, Paul-Vincent Casanova, a également misé sur cette nouvelle culture. En avril dernier, il a investi plus de 200 000 euros pour planter 1 300 arbres, sur 4 hectares. Au printemps, il plantera 8 hectares de plus. « C’est une culture nouvelle pour nous, en Corse. Donc c’est un défi, parce qu’on n’a pas de recul sur la culture », confie-t-il. Six producteurs ont misé sur l’avocat en Corse. Ils souhaitent atteindre 1 000 tonnes d’avocats en 2030.

Parutions:

Femmes et justice pénale,Le livre .

La Justice pénale internationale,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.

Reste la justice,A voir et à lire. .