Que retenir de ce texte : deux jeunes condamnés pour les violences urbaines de juin

Voici un nouvel article qui va grossir notre revue de presse sur « la justice ».

Le titre (deux jeunes condamnés pour les violences urbaines de juin) en dit long.

Sachez que l’écrivain (présenté sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres articles qu’il a publiés sur internet.

Les révélations concernées sont ainsi considérées crédibles.

L’article original dont il s’agit :

Le tribunal correctionnel de Pau a jugé deux jeunes palois ce jeudi. Ils ont été interpellés en début de semaine par la police judiciaire. Ils ont participé aux violences urbaines du quartier Saragosse du 29 juin dernier , après la mort de Nahel. Ce soir là, des coktails molotov ont été lancés sur le nouveau poste de police du quartier. Un jeune de 18 ans qui était présent mais qui n’a pas participé activement a été condamné à 5 mois avec sursis. L’autre a été plus séverement condamné : un an ferme avec un mandat de dépôt à l’audience. Il a 22 ans, il vit dans le quartier et n’a pas été en mesure d’expliquer grand chose à l’audience.

« Je reconnais. C’est tout »

Cédric ne va pas dire grand chose à l’audience. « Je reconnais c’est tout ». Le président demande : « mais pourquoi ? C’est en lien avec Nahel ? » « Meme pas ».
Il dit qu’il a juste suivi le mouvement cette nuit là. On le voit sur les vidéo lancer des pierres sur le bureau de police, quand d’autres lancent des coktails molotov. Il a de l’embompoint et il boite. Il estdonc facile à identifier sur les images.
Son problème c’est aussi que chez lui, enfin chez ses parents, les enquêteurs de la Police Judiciaire ont trouvé plus de 100 grammes de cocaine, près de trois kilos de cannabis et un révolver. Il explique qu’il est une « nourrice ». C’est à dire, qu’on lui a demandé de garder cette marchandise.

Une personnalité influençable

Cédric n’a pas fini sa troisième. Il ne travaille pas. Il n’a jamais travaillé et n’a fait que suivre des formations. Il joue beaucoup à l’ordinateur. Il est soigné par l’hôpital psychiatrique après plusieurs tentatives de suicide. Quand il était au collège, il a été la cible de harcellement scolaire. Son avocate explique qu’il est un suiveur. « Il veut en être, alors il dit oui à tout. » Il explique qu’il fait la nourrice sans rien toucher. La PJ n’a d’ailleurs pas trouvé le moindre euro chez lui. Il participe à ce trafic de stupéfiant sans en profiter. Comme il l’a dit au tribunal : « moi, je ne dis jamais non ».

Parutions sur un sujet comparable:

Des conspirations et de la justice politique/II,Le livre . Ouvrage de référence.

Justice,Ouvrage .

Philosophie/Morale,Le livre . Ouvrage de référence.