On revient sur l’article : le gouvernement réagit à un rapport accusateur d’Amnesty International

Voici le plus marquant d’un article que notre équipe vient de repérer sur le web. Le thème va résolument vous ravir. Car le sujet est « la justice ».

Son titre saisissant (le gouvernement réagit à un rapport accusateur d’Amnesty International) parle de lui-même.

Annoncé sous le nom «d’anonymat
», l’auteur est positivement connu.

Le texte peut en conséquence être pris au sérieux.

L’éditorial a été divulgué à une date notée 2023-02-19 09:10:00.

Texte original en question :

Le gouvernement péruvien a nié toute politique de violation systématique des droits humains et de racisme dans le pays, rejetant un rapport d’Amnesty International (AI) sur la répression des récentes manifestations antigouvernementales.

«Le gouvernement (…) est catégorique en affirmant qu’il n’existe au Pérou ni une politique de violation massive et systématique des droits de l’Homme, ni ce qui a été qualifié de ‘racisme systémique’ dans les actions des différentes autorités», a déclaré samedi soir le ministère de la Justice dans un communiqué.

Dans un rapport publié jeudi, Amnesty International a accusé le gouvernement péruvien de «commettre de graves violations des droits de l’Homme dans le cadre de sa répression violente des manifestations». Selon l’ONG, les autorités ont également agi «avec un parti pris raciste marqué, ciblant des populations historiquement discriminées».

Violentes manifestations

Les manifestations au Pérou ont éclaté il y a plus de deux mois, exigeant la démission de la présidente, Dina Boluarte, et la convocation d’élections générales et d’une Assemblée constituante. Au cours de ces manifestations, 48 civils sont morts dans des affrontements avec les forces de sécurité, la plupart dans les régions andines du sud et du sud-ouest.

«La répression meurtrière est un autre signe du mépris de la police pour la population indigène et paysanne», assure le rapport d’Amnesty. Le ministère de la Justice a assuré faciliter des enquêtes officielles afin d’identifier «les responsables des graves violations du droit à la vie». Il a également souligné que le gouvernement est «conscient» que «la lutte contre la discrimination est l’un de ses plus grands défis».

Dina Boluarte a pris ses fonctions le 7 décembre, après l’éviction de l’ancien président de gauche Pedro Castillo, qui a été emprisonné pour avoir tenté de dissoudre le Congrès et de gouverner par décret, ce qui a déclenché un vaste mouvement de protestation de ses partisans.

Issue du même parti d’inspiration marxiste que Pedro Castillo, Dina Boluarte est considérée comme une traîtresse par les protestataires, majoritairement d’origine indigène comme le président déchu, qui réclament sa démission, mais aussi la dissolution du Parlement et la convocation d’une assemblée constituante.

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