Infos toute fraiche : un gendarme et son acolyte épinglés pour vente d’un sachet de cocaïne, ramassé à la plage

En fouillant internet nous avons trouvé un éditorial qui va vous intéresser. Sa thématique est « la justice ».

Le titre (un gendarme et son acolyte épinglés pour vente d’un sachet de cocaïne, ramassé à la plage) est évocateur.

Le rédacteur (présenté sous la signature d’anonymat
) est positivement connu pour plusieurs autres encarts qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez en conséquence faire confiance à cette information.

Sachez que la date d’édition est 2024-02-07 14:37:00.

Voilà ll’article mentionné :


En effet, à la barre du tribunal des flagrants délits les deux mis en cause ont nié d’une manière partielle les faits. Ibrahima M, interrogé en premier, donne sa version des faits. « J’ai appelé Hakim pour qu’il lui trouve un client. Et ce dernier nous a proposé la somme de 25 000 francs le gramme. Par la suite, j’ai contacté Hakim pour lui dire qu’on a trouvé un accord avec le client. Celui-ci nous a donné un rendez-vous à Liberté 6 à 15 h. Et le client en réalité était un policier en civil. Au début, il nous a fait croire que la drogue n’était pas de bonne qualité et qu’il va l’acheter à vil prix. Mais c’était juste une façon de nous piéger », narre le gendarme.

Quant à son acolyte Mamadou L. Diouf, il dira avoir ramassé la drogue à la plage de Pointe Sarène. « J’ignorais la quantité de la drogue. On a inscrit sur le sachet 40 g. Je l’avais gardé dans ma chambre. C’est le 7 janvier dernier que je l’ai retrouvé alors que je nettoyais ma chambre. Au début, je ne savais pas que c’était de la drogue. Lorsque, je me suis rapproché d’Ibrahima M. pour qu’il lui trouve un acheteur », se défend le prévenu domicilié à Grand Mbao.

Prenant la parole, le représentant du ministère public a souligné la constance des faits avant de requérir une application de la loi.

Selon la défense, la robe noire dira qu’on a tendance à oublier l’élément moral de cette procédure. « Vous avez quelqu’un qui se balade à la plage de Pointe Sarène et qui ramasse un sachet. Arrivé à la maison, un ami lui révèle que c’est de la cocaïne. Et dans ces circonstances, il jette une partie du produit prohibé. Quelques jours après, il découvre l’autre partie dans sa chambre pendant qu’il faisait un grand ménage. Sur ces entrefaites, il a appelé son co-prévenu pour qu’il lui trouve un client », a expliqué la robe noire qui ajoute que les mis en cause ne sont pas des vendeurs de drogue. « Cette situation est accidentelle. Ils doivent se réjouir d’avoir été arrêté très tôt. Ce sont des innocents. Et on peut leur tendre la perche car ils se sont fait avoir sur toute la ligne », avance la défense.

Finalement, le tribunal après en avoir délibéré conformément à la loi a déclaré les prévenus coupables. Et condamne Ibrahima M a deux ans ferme dont deux mois ferme et deux ans de prison ferme contre Diouf.

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