Dernière actu toute fraiche : Le ministre japonais de la Justice constate la mauvaise réputation des responsables de l’immigration au Japon

Voilà qui va vous plaire : Un nouveau texte que notre équipe vient de découvrir sur le web et que nous vous reproduisons ci-dessous. La thématique est « la justice ».

Son titre (Le ministre japonais de la Justice constate la mauvaise réputation des responsables de l’immigration au Japon) en dit long.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le pigiste est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.

Vous pouvez ainsi donner du crédit à cette parution.

Le texte a été publié à une date indiquée 2023-06-23 05:52:00.

Texte source :

Le ministre japonais de la Justice, Saito Ken, a déclaré que l’opinion publique avait une mauvaise image des autorités et des fonctionnaires de l’immigration et qu’il souhaitait qu’ils fassent preuve de plus de sérieux dans leur travail. M. Saito a fait ce commentaire lors d’une réunion des chefs des bureaux locaux et des centres de détention de l’immigration, vendredi.

Cette remarque s’inscrit dans le cadre d’un procès en cours contre le gouvernement, intenté par les proches d’une Sri-Lankaise, Wishma Sandamali, décédée en 2021 dans un centre de détention de Nagoya, dans le centre du Japon. Ses proches ont poursuivi le gouvernement, affirmant que la jeune femme s’était vu refuser des soins médicaux, alors qu’elle s’était plainte à plusieurs reprises d’être en mauvaise santé.

M. Saito a déclaré qu’une loi révisée sur l’immigration avait été promulguée pour traiter les problèmes de détention prolongée dans les centres d’immigration, pour éviter les expulsions et pour protéger les personnes qui doivent l’être.

Il a appelé les fonctionnaires à s’acquitter de leurs tâches de manière appropriée sur la base de la loi révisée.

Ce texte, entré en vigueur au début du mois, met fin à l’exemption d’expulsion pour les personnes qui déposent plus de deux demandes, à moins qu’elles ne fournissent des raisons suffisantes.

Se référant au cas de Mme Wishma, M. Saito a déclaré que le seul moyen d’améliorer la situation actuelle est que les fonctionnaires de l’immigration prennent leur travail au sérieux.

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